Des gestes transmis de génération en génération. L’histoire extraordinaire de l’Arc Jurassien, la première région industrialisée au monde. L’atelier du luxe Franco-Suisse.
Le Jura, ce sont des montagnes sillonnées de cours d’eau. Des moulins s’érigèrent le long des rivières, en des temps où l’industrie n’existait pas encore. Ces moulins entraînaient des forges grâce auxquelles les Jurassiens fabriquaient leur outillage, et des clous pour réparer les toitures. L’un d’entre eux créa les premières lunettes en partant, selon la légende, d’un clou. Les Anglais avaient entamé leur industrialisation grâce à la vapeur et au charbon, Pierre Hyacinthe Cazeaux venait de lancer la première révolution industrielle « naturelle » au monde, propulsée par l’énergie hydraulique.
Les siècles suivants furent ceux d’une expansion sans précédent pour l’économie de la région. Tout l’arc Jurassien, de la France à la Suisse, tirait profit de cette énergie inépuisable ; l’eau entraînait les scieries pour l’industrie du bois, les tours des lapidaires pour tailler les pierres précieuses, les ateliers d’horlogerie, et bien sûr les lunetteries. L’acétate de cellulose, plastique d’origine végétal, fit son apparition au début du XXème siècle. Travaillé au tour, il est souple mais résistant, très agréable au porté. A cette époque, Morez se spécialise dans le métal, Oyonnax choisi l’acétate.
L’après guerre conforte le Jura dans sa place de leader, les lunettes deviennent colorées, excentriques, l’activité bat son plein. La production atteint son pic, personne à ce moment n’imagine faire autre chose que des lunettes. Une monoactivité qui fut balayée quelques années plus tard, à cause d’une concurrence toujours plus rude et des délocalisations successives. Heureusement, il existe une chose qui ne pourra jamais être délocalisable : la passion.
Pourquoi se battre sur les prix, quand personne n’arrive à atteindre votre savoir-faire ? La production jurassienne s’est réorientée vers des produits de qualité. Aujourd’hui, on réalise même des produits de luxe. Les petites mains du Jura en ont toute la légitimité. Regardez ce que les cousins Suisses offrent à vos poignets. Vorscine vous propose de porter ce savoir faire devant vos yeux.
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Tradition lunetière Française
Le Jura, ce sont des montagnes sillonnées de cours d’eau. Des moulins s’érigèrent le long des rivières, en des temps où l’industrie n’existait pas encore. Ces moulins entraînaient des forges grâce auxquelles les Jurassiens fabriquaient leur outillage, et des clous pour réparer les toitures. L’un d’entre eux créa les premières lunettes en partant, selon la légende, d’un clou. Les Anglais avaient entamé leur industrialisation grâce à la vapeur et au charbon, Pierre Hyacinthe Cazeaux venait de lancer la première révolution industrielle « naturelle » au monde, propulsée par l’énergie hydraulique.
Les siècles suivants furent ceux d’une expansion sans précédent pour l’économie de la région. Tout l’arc Jurassien, de la France à la Suisse, tirait profit de cette énergie inépuisable ; l’eau entraînait les scieries pour l’industrie du bois, les tours des lapidaires pour tailler les pierres précieuses, les ateliers d’horlogerie, et bien sûr les lunetteries. L’acétate de cellulose, plastique d’origine végétal, fit son apparition au début du XXème siècle. Travaillé au tour, il est souple mais résistant, très agréable au porté. A cette époque, Morez se spécialise dans le métal, Oyonnax choisi l’acétate.
L’après guerre conforte le Jura dans sa place de leader, les lunettes deviennent colorées, excentriques, l’activité bat son plein. La production atteint son pic, personne à ce moment n’imagine faire autre chose que des lunettes. Une monoactivité qui fut balayée quelques années plus tard, à cause d’une concurrence toujours plus rude et des délocalisations successives. Heureusement, il existe une chose qui ne pourra jamais être délocalisable : la passion.
Pourquoi se battre sur les prix, quand personne n’arrive à atteindre votre savoir-faire ? La production jurassienne s’est réorientée vers des produits de qualité. Aujourd’hui, on réalise même des produits de luxe. Les petites mains du Jura en ont toute la légitimité. Regardez ce que les cousins Suisses offrent à vos poignets. Vorscine vous propose de porter ce savoir faire devant vos yeux.
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Versus Oceani
Le luxe, c’est l’arlésienne. On en parle souvent, on le voit rarement. On l’invoque par des discours, à grand renfort de célébrités ou de magazines sur papier glacé. Chez Vorscine, nous pensons qu’une image vaut mieux que 1000 mots. Alors abrégeons ; l’acétate de cellulose est issu d’un fournisseur italien renommé, qui pour le futur s’oriente vers un plastifiant d’origine naturel. Le plastifiant sert à lier la matière première, constituée de pulpe de bois et fleurs de coton.
L’acétate est certes transalpin et importé, mais la fabrication, elle, est 100 % Française. Pas seulement l’assemblage, tout, depuis la découpe de la matière première jusqu’aux finitions est réalisé à Oyonnax. Même les rivets sur mesure sont Jurassiens. Pourquoi des rivets sur mesure ? Parce que des surépaisseurs sont appliquées aux tenons, pour donner du relief et de la solidité aux modèles, et que des rivets standards ne suffisent pas. Le pont est également renforcé.
Le polissage fait l’objet de toutes les attentions, plusieurs passes sont appliquées, et toujours finies manuellement. Chaque modèle est livré dans son écrin en bois. L’écrin est entièrement fabriqué en Savoie, le noyer est issu de forêts européennes gérées durablement. Une huile est appliquée sur le bois pour un rendu naturel qui rappelle l’habitacle des voitures de luxe ou le pont des bateaux de plaisance.
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